VITAMINE C ET MALADIES INFECTIEUSES
L’Utilisation de TRICATIONE en Implantologie - Étude de Cas
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Introduction :
Depuis les travaux révolutionnaires de Branemark en 1981 sur l’ostéointégration, l’implantologie dentaire s’est développée de manière exponentielle. Les implants dentaires sont devenus une solution courante pour stabiliser des prothèses amovibles ou pour répondre aux édentements partiels ou totaux. Cependant, la pose d’implants peut être compromise par des facteurs comme le manque de capital osseux ou la faible qualité de l’os. Dans cette optique, de nouveaux produits et techniques, comme le TRICATIONE, sont introduits pour améliorer la stabilité primaire et l’ostéointégration des implants.
Le TRICATIONE et son Processus de Fabrication :
Le TRICATIONE est un complément alimentaire à base de prêle des champs (Equisetum arvense), riche en silice organique soluble et en flavonoïdes. Son procédé de fabrication unique, sans solvant ni haute température, permet de conserver une forte concentration de silice bio-disponible, ce qui contribue à la santé osseuse. De plus, ce produit est enrichi en huile d’avocat bio, magnésium et vitamine D3, offrant une combinaison puissante pour renforcer la formation osseuse et la calcification.
Les Effets Bénéfiques du TRICATIONE :
La silice contenue dans le TRICATIONE joue un rôle crucial dans la formation et la calcification de la matrice osseuse en renforçant la liaison entre le collagène et les protéoglycanes. Des études in vitro ont montré que le TRICATIONE stimule la synthèse du collagène de type I et améliore la différenciation des ostéoblastes, les cellules responsables de la formation osseuse.
Les flavonoïdes présents dans le TRICATIONE, tels que l’isoquercitrine, agissent comme des antioxydants puissants qui protègent le collagène et réduisent l’inflammation osseuse. L’ajout de magnésium et de vitamine D3 contribue également à maintenir des os solides et à stimuler l’ostéoblastogenèse.
Efficacité Clinique :
L’efficacité du TRICATIONE a été démontrée à travers plusieurs études. En implantologie, il favorise la cicatrisation osseuse et la stabilité primaire des implants. Une étude a notamment montré que l’utilisation de TRICATIONE chez des femmes post-ménopausées à haut risque ostéoporotique permet de réduire la résorption osseuse et d’améliorer la construction osseuse.
Étude de Cas en Implantologie :
Dans le cadre d’une étude menée par le Docteur Jean-François Brémont, 37 patients, hommes et femmes, ont bénéficié d’un traitement au TRICATIONE avant et après la pose d’implants. L’objectif était d’évaluer l’effet de ce complément sur l’ostéointégration des implants. Les résultats ont montré une excellente cicatrisation osseuse et gingivale, sans perte d’implant. Le TRICATIONE a permis de réduire les délais de mise en charge des implants tout en maintenant une ostéointégration de qualité.
Conclusion :
L’utilisation du TRICATIONE en implantologie dentaire présente un intérêt majeur pour améliorer la stabilité primaire et la cicatrisation osseuse autour des implants. Son action bénéfique sur l’ostéointégration en fait un allié précieux dans les protocoles de pose d’implants. Il est particulièrement recommandé pour les patients présentant des risques de déminéralisation osseuse ou des troubles de la cicatrisation.
Références :
Cette étude s’appuie sur des travaux scientifiques et des essais cliniques documentés qui ont permis de valider l’efficacité du TRICATIONE en implantologie et dans le cadre de la prévention des troubles osseux.
VITAMINE C
ET MALADIES INFECTIEUSES
Extrait du dossier « Révolution vitamine C » édité par l’PSN
Les capacités antivirales et antibactériennes de la vitamine C ne sont plus un secret pour les scientifiques. De nombreuses études sont venues étayer ces faits. Seule l’ignorance ou la mauvaise foi peuvent justifier que des médecins réfutent encore ces données scientifiques. Car depuis, près de 100 ans, les études s’accumulent et corroborent entre elles. Le seul débat qui persiste est celui de la dose. A petite dose les effets de la vitamine ne sont pas toujours probants (mais ils ne sont jamais négatifs). Afin de trouver des études sur la vitamine C, il suffit d’aller sur le site Internet PubMed. Ce site recense la littérature scientifique médicale. Sur l’acide ascorbique, il ne recèle pas moins de 58000 études !
Thomas E Levy, MD, est cardiologue et membre de la société́ Américaine de Cardiologie. Auteur de 7 livres de référence sur le sujet, il est le spécialiste mondial de la vitamine C.
Vitamine C et virus.
C’est sans doute contre les virus que la vitamine C est le plus efficace. En laboratoire, l’acide ascorbique est apparu comme un virucide absolu. Dans le tube à essai, la vitamine C désactive le virus (elle ne le tue pas car ils sont inanimés).
Cet effet de la vitamine C a été observé pour des maladies comme :
- La poliomyélite : Jungblut (1935-Pubmed : 19870431). Dans cette étude, le virus s’est désactivé́ au contact de la vitamine C. Il est devenu non infectieux.
- L’herpès: Holdenet Resnick (1936-Journal of immunology 31: 455-462). Holden and Molloy (1937 – Journal of immunology 33:251-257). Kliger et Bernkopf (1937 – Revue Nature 139:965-966). Dans ce cas précis, l’action de la vitamine C a été doublée avec du glutathion.
- La variole : Turner G (1964 – J Gen Microbiol 35 :75-80 [Pubmed :14171261]
- Le virus de la mosaïque du tabac : Lojkin M (1936)
- Les enterovirus: Salo (1978 – PubMed: 29558)
- La grippe: Cheng(2012Pubmed:22931805)
- La rage: Amato (1937-Giornale di batteriologia 19:843-847)
- L’hépatite aiguë (cf. ci-dessous la formule du Dr Klenner)
Il a même été démontré́ que la vitamine C inactivait les bactériophages. Toutes ces études ont été menées in vitro. Toutefois, nous disposons également d’études cliniques menées sur des patients.
Les études du Dr Frederick Klenner
Signalons le travail extraordinaire du Dr Frederick Klenner. Ce médecin américain, installé en Caroline du Nord a été l’un des grands précurseurs de la médecine orthomoléculaire et de l’utilisation de la vitamine C. Il était à la fois pneumologue et médecin généraliste. Il a non seulement pratiqué au quotidien les hautes doses de vitamine C par perfusion, en intraveineuse, avec tous ses patients mais a également consigné les résultats obtenus dans ses écrits. Cela lui a permis de publier 28 études qui ont constitué́ un premier socle solide de connaissance sur la vitamine C, utilisée en clinique.
Dans l’une de ses études sur des cas de poliomyélite aiguë, il rapporte avoir vu 60 patients : des enfants et des nourrissons. 57 cas ont guéri en 3 jours. Les 3 autres ont guéri en 5 jours. Dans tous les cas la rémission a été totale. Dans 50 % des cas, il y a eu une ponction lombaire attestant, sans doute possible, qu’il s’agissait bien d’une poliomyélite. Ses résultats exceptionnels ont été présentés à l’association américaine de médecine de Chicago. Malheureusement, ils ont été ignorés. Le temps était aux vaccins et aux antibiotiques. Pourtant, vu le nombre de personnes, qui à l’époque souffraient de poliomyélite, il est certain que les travaux du Dr Klenner s’ils avaient été pris au sérieux et surtout dupliqués auraient épargné́ bien des souffrances !
Il a aussi traité des cas de poliomyélite chronique. L’un de ses rapports évoque une fil- lette de 8 ans atteinte de la maladie depuis deux semaines dont les jambes entaient déjà̀ paralysées. Elle se remit pleinement, mais il aura fallu deux semaines de traitement de doses élevées. Le Dr Frederick Klenner est parvenu à guérir tous les cas d’infections virales qui lui ont été présentés. Pour lui, seule comptait de trouver la bonne dose à appliquer au patient. D’autres études ont confirmé́ que la vitamine C administrée oralement pouvait traiter efficacement la poliomyélite. Les patients ont reçu entre 50 g et 80 g plusieurs fois lors d’un traitement de 10 jours et ont été guéris.
(Références sur Pubmed : 1955 [13279345] et Baur, 1952 [13021801]).
Par voie orale, le plus efficace semble être la forme liposomale. La vitamine C est alors encapsulée dans une molécule de graisse qui lui permet d’accéder directement à la cellule sans être abimée par le système digestif. Toutefois, le Dr Cathcart, un autre médecin pionnier de la vitamine C, a obtenu de bons résultats avec des poudres en augmentant encore les doses. Il pouvait donner jusqu’à 300 g par jour de vitamine C à ses patients ! Son argument : les poudres sont moins chères et donc accessibles à tous !
Formules du Dr Klenner en cas d’hépatite
1er protocole possible
- 500 et 700 mg de vit.C par kg de masse corporelle toutes les 8 à 12 heures en intraveineuse (perfusion), soit 50 g toutes les 8 à 12 heures.
- 10 000 mg de vit C oralement. L’hépatite aiguë se résorbe en moins de 4 jours.
Confirmé par les études suivantes : Carthcart (1981) [Pubmed :7321921] Dalton (1962] [Pubmed : 1388359] Orens 1983 [Pubmed : 6573223 (IV et oral)
2e protocole possible :
- 5000 mg de vit. C toutes les 4 heures
- 120 000 mg par voie orale.
Mêmes résultats après quatre jours.
À noter : chez ces patients très malades, aucun n’a eu de diarrhée (qui est un effet secondaire possible d’un traitement à la vitamine C).
Vitamine C et infections bactériennes
Enfin, la littérature scientifique montre que la vitamine C est très utile pour les pathologies suivantes :
- Le paludisme
- La lèpre
- La dysenterie
- La fièvre typhoïde
- La brucellose
- La rage
Vitamine C et maladies infantiles
Le Dr Frederick Klenner a souvent soigné des enfants et des nourrissons avec la vitamine C. Il n’est pas le seul. On trouve des études concluantes relatives aux maladies suivantes :
- La rougeole
- Les oreillons (Klenner 1949 [18147027])
- La varicelle (Dainow 1943, 68, 197 Zureick 1950 [14908970] Klenner 1 45)
Vitamine C et septicémie
- Le Dr Marik est connu pour les protocoles de vitamine C qu’il a développé́ pour soigner la septicémie.
- Le protocole communément admis comprend de la vitamine C et de l’hydrocortisone. Ce protocole, validé par la littérature scientifique est désormais utilisé dans de nombreuses cliniques dans le monde.
- Voici quelques références d’études sur la septicémie confirmant la grande efficacité́ de la vitamine C pour cette pathologie : Pubmed : 282110072 Pubmed : 27940189 Pubmed : 25994956
Synthèse : 19 manières qu’a la vitamine C de soigner ou d’améliorer un traitement
- Elle accroit la production d’interférons. Cela permet de détoxifier les patients (hépatite) et améliore le travail des globules blancs.
- Elle renforce le système immunitaire.
- Elle augmente la production de lymphocytes.
- Elle augmente la prolifération de lymphocytes t.
- Elle augmente la prolifération de lymphocytes B.
- Elle neutralise les toxines.
- Elle limite les effets toxiques des métaux lourds.
- Elle neutralise le venin d’animaux tels que les serpents et les araignées.
- Elle limite l’effet de l’alcool (ce qui ne veut pas dire qu’il faut en boire plus que de raison).
- Elle sert d’antidote aux champignons vénéneux.
- Elle aide à soigner les maladies chroniques (sans les guérir toutefois). On voit des bénéfices dans le cadre de la maladie de Lyme, du sida, de l’hépatite chronique.
- Elle peut soigner le rhume mais il faut la prendre à très haute dose dans ce cas.
- Elle est efficace contre la tuberculose.
- Elle est efficace contre la coqueluche qui est à la fois une bactérie et un toxique.
- Elle neutralise les effets indirects de la radiation
- Elle soigne le scorbut.
- Elle réduit les infections, notamment les infections dentaires.
- Elle neutralise (en partie) l’exposition aux pesticides.
- Elle réduit l’inflammation.
Règle de prescription efficace de vitamine C à haute dose.
- La dose : Privilégier les fortes doses.
- Le mode de prise (oral, liposomale, intraveineux, intramusculaire) : choisir la ou les formes adaptées à la personne et au mal visé.
- La fréquence : il est possible de prendre de la vitamine C deux ou trois fois par jour. Cela peut être deux ou trois fois par semaine dans le cadre de doses très fortes.
- Le rythme : Privilégier la régularité́.
- La durée : Pour les aigues, elle peut être courte : 2 à 5 jours.
- Le type de vitamine C : il faut éviter le calcium ascorbate qui est un composé chimique utilisé dans l’agro-alimentaire
- Les thérapies associées : synergies à créer
- La sécurité́ : surveiller les réactions du patient, adapter si nécessaire le dosage.
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