Mercure et électrogalvanisme buccal

par | 15 Oct 2022 | Articles | 5 commentaires

L’Utilisation de TRICATIONE en Implantologie - Étude de Cas

 

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Introduction :

Depuis les travaux révolutionnaires de Branemark en 1981 sur l’ostéointégration, l’implantologie dentaire s’est développée de manière exponentielle. Les implants dentaires sont devenus une solution courante pour stabiliser des prothèses amovibles ou pour répondre aux édentements partiels ou totaux. Cependant, la pose d’implants peut être compromise par des facteurs comme le manque de capital osseux ou la faible qualité de l’os. Dans cette optique, de nouveaux produits et techniques, comme le TRICATIONE, sont introduits pour améliorer la stabilité primaire et l’ostéointégration des implants.

Le TRICATIONE et son Processus de Fabrication :

Le TRICATIONE est un complément alimentaire à base de prêle des champs (Equisetum arvense), riche en silice organique soluble et en flavonoïdes. Son procédé de fabrication unique, sans solvant ni haute température, permet de conserver une forte concentration de silice bio-disponible, ce qui contribue à la santé osseuse. De plus, ce produit est enrichi en huile d’avocat bio, magnésium et vitamine D3, offrant une combinaison puissante pour renforcer la formation osseuse et la calcification.

Les Effets Bénéfiques du TRICATIONE :

La silice contenue dans le TRICATIONE joue un rôle crucial dans la formation et la calcification de la matrice osseuse en renforçant la liaison entre le collagène et les protéoglycanes. Des études in vitro ont montré que le TRICATIONE stimule la synthèse du collagène de type I et améliore la différenciation des ostéoblastes, les cellules responsables de la formation osseuse.

Les flavonoïdes présents dans le TRICATIONE, tels que l’isoquercitrine, agissent comme des antioxydants puissants qui protègent le collagène et réduisent l’inflammation osseuse. L’ajout de magnésium et de vitamine D3 contribue également à maintenir des os solides et à stimuler l’ostéoblastogenèse.

Efficacité Clinique :

L’efficacité du TRICATIONE a été démontrée à travers plusieurs études. En implantologie, il favorise la cicatrisation osseuse et la stabilité primaire des implants. Une étude a notamment montré que l’utilisation de TRICATIONE chez des femmes post-ménopausées à haut risque ostéoporotique permet de réduire la résorption osseuse et d’améliorer la construction osseuse.

Étude de Cas en Implantologie :

Dans le cadre d’une étude menée par le Docteur Jean-François Brémont, 37 patients, hommes et femmes, ont bénéficié d’un traitement au TRICATIONE avant et après la pose d’implants. L’objectif était d’évaluer l’effet de ce complément sur l’ostéointégration des implants. Les résultats ont montré une excellente cicatrisation osseuse et gingivale, sans perte d’implant. Le TRICATIONE a permis de réduire les délais de mise en charge des implants tout en maintenant une ostéointégration de qualité.

Conclusion :

L’utilisation du TRICATIONE en implantologie dentaire présente un intérêt majeur pour améliorer la stabilité primaire et la cicatrisation osseuse autour des implants. Son action bénéfique sur l’ostéointégration en fait un allié précieux dans les protocoles de pose d’implants. Il est particulièrement recommandé pour les patients présentant des risques de déminéralisation osseuse ou des troubles de la cicatrisation.

Références :

Cette étude s’appuie sur des travaux scientifiques et des essais cliniques documentés qui ont permis de valider l’efficacité du TRICATIONE en implantologie et dans le cadre de la prévention des troubles osseux.

 

5 Commentaires

  1. BESCH

    Bonjour. Merci de m’informer d’une date de livraison suite à ma commande du GALVANO

    Réponse
    • Catherine ROSSI

      entre le 15 et le 30 mars 2023

      Réponse
  2. delaigue

    Bonjour!

    Après la mesure effectuée avec un galvanomètre,
    quelles solutions de dépollution autre que la dépose des amalgames avec précautions ,souvent réalisée peut on proposer?

    Merci pour toutes les informations.
    Bien chaleureusement.

    S.Delaigue

    Réponse
    • Catherine ROSSI

      Si les mesures sont au dessus des normes et qu’une pathologie est associée il n’y a pas d’autres solutions que de retirer l’obturation

      Réponse
  3. BAUDIER

    Existe t-il des dentistes sur Grenoble utilisant votre galvanomètre ?
    Cordialement

    Réponse

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Je suis toujours surprise de constater comment le cloisonnement, l’illusion de différence, les défaillances de communication dans tous les domaines de la vie peuvent amener à des incohérences, tellement énormes qu’elles passent inaperçues. 

 

Des lois 2 poids/2 mesures !

Vous devez vous souvenir qu’en 2006, le ministère de l’Environnement a mis en place de nombreux dispositifs pour protéger (un peu) la planète de la pollution par le mercure : Ramenez vos thermomètres à la pharmacie, jetez vos piles dans des contenants spécifiques, ainsi que les ampoules basse consommation, filtres pour les cheminées des crématoriums, et récupérateurs d’amalgames à la sortie des systèmes d’aspiration des fauteuils dentaires. Tout ceci a été applaudi et bien respecté par la population. 

Et pourtant du côté du Ministère de la santé : SILENCE RADIO… On continue à autoriser le mercure (et autres métaux d’ailleurs : aluminium, nickel, béryllium, Cadmium, …) dans les cigarettes, les vaccins, de nombreux médicaments, dans les produits de soins et prothèses dentaires, et cela dans l’indifférence générale. Et à ceux qui, quand même, posent des questions, on répond avec un air angélique que ce n’est pas le même mercure… 

 

Pour info, si vous n’êtes pas dentiste

Les amalgames dentaires (communément appelés les plombages), ne contiennent pas de plomb mais un mélange de 50 % de mercure avec 50% d’un alliage de plusieurs métaux, argent, cuivre, étain, zinc, béryllium qui est aussi un produit très toxique. 

L’intoxication au mercure est appelée hydrargyrisme, c’est une intoxication très connue de la médecine que l’on attribue à toutes sortes d’intoxications industrielles extérieures mais que l’on refuse depuis des années à attribuer également à la présence de mercure dans les dents soignées. 

 

Mercure interdit sous conditions

Un des premiers dentistes ayant alerté la profession, dès les années 60, sur la toxicité du mercure dans les amalgames fut un confrère brésilien, le Dr Olympio Pinto. Sa rencontre avec le Dr Hal Huggins a initié le courant de la dentisterie holistique aux États-Unis et la création de IAOMT (International Academy of Oral Medecine and Toxicology) en 1984, avec des dentistes canadiens.

En 2015, pour le comité européen scientifique des risques émergents (SCENIHR), les amalgames dentaires contenant du mercure sont efficaces et sûrs d’utilisation. Par contre, ils déconseillent son utilisation sur les dents de lait et chez la femme enceinte. (Peut-être donc pas si sûr que ça…).

En 2022, de plus en plus de dentistes ont spontanément arrêté de poser de l’amalgame dans la bouche de leurs patients sans attendre la loi qui, à ce jour, interdit de poser des amalgames contenant du mercure aux enfants de moins de 15 ans et aux femmes enceintes car on reconnait maintenant que le mercure passe la barrière fœto-placentaire et gagne le cerveau du fœtus. On dit aussi qu’il serait un perturbateur endocrinien et il serait en partie mis en cause dans l’autisme. 

 

Retirer les amalgames dentaires

Par contre, on ne trouve aucune recommandation officielle sur les précautions à prendre lors du retrait des amalgames dentaires. Et là je tire une sonnette d’alarme : Attention !   Enlever des amalgames sans précaution est pire que de les garder dans les dents ! La dépose non sécurisée d’un amalgame provoque un apport massif de mercure dans le corps. Les doses ingérées dépassent plus de 20 fois les doses officiellement admises (1,8 microgrammes par kg). Des poussières le l’alliage métallique sont avalées après dissolution dans la salive et des vapeurs de mercure sont inhalées car lors du fraisage de l’amalgame, le mercure s’évapore au-delà de 40°C. C’est souvent quelques jours après cette intervention que les premiers symptômes peuvent apparaitre : fatigue soudaine, maux de tête, douleurs articulaires, baisse de la vue, problèmes digestifs, pertes de mémoire, etc.

 

Comment le mercure des amalgames passe dans la salive ?

Le problème du mercure et de ses petits copains métalliques dans les obturations dentaires c’est qu’ils n’y restent pas. 

Ces métaux s’échappent des obturations par plusieurs phénomènes : 

  • Par usure lors de la mastication, 
  • Au moment de la pose, pendant les 24H dont il a besoin pour durcir 
  • Lors des phénomènes de corrosion en surface de l’amalgame en cas d’électrogalvanisme.
  • Au moment de la dépose, si le chirurgien-dentiste ne prend pas de précautions particulières pour éviter que les poussières soient avalées, et les vapeurs de mercure respirées lors du fraisage de l’amalgame, nous venons d’en parler.

 

La toxicité du mercure

La toxicité du mercure n’est plus à démontrer, même si les instances officielles de la profession dentaire continuent à relativiser l’implication du mercure dentaire dans toute une série de symptômes que certains de nos patients constatent et subissent au quotidien.

On s’est ainsi rendu compte que ce n’était pas le mercure en lui-même qui était le plus toxique chez l’homme, mais le fait que le mercure, une fois libéré de l’obturation, soit transformé par les bactéries du microbiote buccale, en méthyl mercure qui lui, est un toxique avéré pour le système nerveux.  Le méthyl mercure ne reste pas dans le sang circulant, c’est pour cela que les analyses de sang ne sont pas représentatives de l’intoxication au mercure. Il se fixe rapidement dans les tissus, principalement le tissu nerveux.

 

Électrogalvanisme en surface des amalgames dentaires

On sait que les amalgames dentaires ne sont pas les seuls polluants au mercure et qu’une fois en place, ils sont relativement stables, mais ce serait ignorer leur pollution électromagnétique qui se mesure avec un électro galvanomètre buccal. La mesure du courant électrique (en millivolt) et de la résistance (en microampère), permet d’évaluer l’intensité des courants galvaniques à la surface de l’obturation métallique. Nous pouvons ainsi en tirer 2 conclusions :

  • Plus ces mesures sont élevées, plus le métal se corrode et se dissout dans la salive, participant à la pollution de l’organisme au mercure et autres métaux lourds.
  • Plus ces mesures sont élevées, plus l’obturation participe à la pollution électromagnétique en interférant :
  • Avec les différences de potentiel en surface des membranes cellulaires des cellules du corps, perturbant ainsi leur fonctionnement.
  • Avec la circulation d’énergie le long des méridiens d’acupuncture, bloquant ou perturbant le fonctionnement des organes et fonctions reliés à la dent reconstituée pas l’amalgame. Il existe des tableaux regroupant ces liens.
  • En potentialisant les effets délétères sur le corps humain des pollutions électromagnétiques extérieures, telles que wifi, 5G, etc.

 

Électrogalvanisme buccal et santé

Le monde médical est encore loin de mesurer l’impact sur la santé et les fonctions cognitives de cet électrogalvanisme buccal qui provoque, comme nous venons de le voir, à la fois une pollution aux métaux lourds et une pollution électromagnétique.

Des études sur la pose d’amalgame radioactif chez des animaux (mouton, singe) ont mis en évidence le passage très rapide du mercure dans les reins, le cerveau, la barrière gastro-intestinale, le foie et les tissus de la mâchoire. C’est pour cela que les métaux lourds (Mercure, aluminium, cadmium …) sont souvent mis en cause dans des maladies telles que : Alzheimer, Parkinson, Sclérose en plaque, tremblements chroniques, perte de mémoire, fibromyalgies, etc. 

La quantité de mercure dans le sang reste relativement faible par rapport à la quantité tissulaire. En fait, le mercure ne reste pas dans le sang circulant, il se fixe très vite dans les tissus, généralement sur les récepteurs minéraux avec lesquels il entre en compétition. C’est pour cette raison que le dosage sanguin n’est pas représentatif de l’importance de l’intoxication, mais plus de la capacité à l’éliminer !

Des troubles neurologiques et comportementaux peuvent être observés après exposition aux différents composés de mercure par inhalation, ingestion, ou contact dermique : tremblement, insomnie, perte de mémoire, effets neuromusculaires, maux de tête, dysfonctionnement moteurs et cognitifs. En 2015, des chercheurs de Seattle, aux USA ont constaté une diminution des performances, une acuité visuelle spatiale affaiblie, baisse de l’apprentissage et de la mémoire avec certains impacts supplémentaires sur l’attention et la fonction motrice, chez des enfants dont les dents ont été obturées à l’amalgame. Certains chercheurs commencent à faire le lien entre l’autisme et les pollutions, dont le mercure.

 

L’intoxication au mercure se manifeste généralement par une très grande fatigue plus ou moins brutale et qui devient chronique. Chez le patient, elle peut apparaitre quelques jours après la dépose non sécurisée d’un amalgame dentaire. Simultanément, d’autres signes peuvent apparaître, en cascade, comme un château de carte qui s’écroule. Ces patients ont déjà un terrain très affaiblit, intoxiqué. Le retrait de l’amalgame sans protection est la goutte qui fait déborder le vase. Les symptômes sont tellement variables et disproportionnés que même les médecins s’y perdent. 

Les professionnels de la santé sont encouragés à davantage prendre en compte l’état de santé bucco-dentaire de leurs patients. La recherche d’un électrogalvanisme buccal permettrait, dans de nombreux cas, des économies de santé publique et un rétablissement plus rapide des malades.  

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