Masques et problèmes buccaux

par | 10 Déc 2020 | Actualités, Articles | 0 commentaires

Les dentistes avertissent que les maladies des gencives et la carie dentaire ont augmenté de 50% chez les personnes qui portent un masque toute la journée

PAR PHILLIP SCHNEIDER LE 2 SEPTEMBRE 2020

À la lumière des mandats nationaux et mondiaux relatifs au port de masques à l’intérieur et ensuite à l’extérieur, les dentistes ont découvert que les patients qui reviennent pour un contrôle connaissent une augmentation de 50 % des maladies des gencives et des caries dentaires.

Les dentistes ont baptisé cette condition « bouche masquée » en référence à la fameuse « bouche à méthamphétamine » qui a tendance à affliger les consommateurs de méthamphétamine. Elle touche même ceux qui n’ont jamais eu de problèmes auparavant et on pense qu’elle est causée par une accumulation de bactéries dans un environnement sec, riche en Co2 et pauvre en oxygène, car la respiration buccale est augmentée sous un masque au détriment de la respiration nasale.

« Nous constatons une inflammation des gencives de personnes qui sont en bonne santé depuis toujours et des caries chez des personnes qui n’en ont jamais eu auparavant », déclare le Dr Rob Raimondi, copropriétaire de One Manhattan Dental à New York.

Le partenaire dentaire de Raimondi, le Dr Marc Scalfani, prévient que le port accru du masque ne cause pas seulement une détérioration des gencives et des dents, mais qu’il « finira par entraîner des accidents vasculaires cérébraux et un risque accru de crise cardiaque » à terme. A ce jour, on accuse déjà le masque comme étant responsable de la mort de 3 enfants.

« La respiration buccale provoque la sécheresse de la bouche, ce qui entraîne une diminution de la salive – et c’est la salive qui combat les bactéries et nettoie les dents. La salive est également ce qui neutralise l’acide dans la bouche et aide à prévenir les caries et les maladies des gencives ». – Dr Marc Sclafani 

Les médecins avertissent depuis des mois que le port d’un masque peut exacerber des problèmes respiratoires existants comme l’asthme, mais il semble maintenant que les dommages s’étendent non seulement aux poumons, mais aussi à la bouche.

Les patients viennent nous voir en disant : « Wow, mon haleine pue, j’ai besoin d’un nettoyage », explique le Dr Sclafini. « Lorsque vous sentez la mauvaise haleine, soit vous avez déjà une maladie parodontale, soit vous avez beaucoup de bactéries qui se trouvent sur votre langue à cause de la bouche sèche ».

C’est pourquoi Dr Sclafini recommande à ceux qui doivent porter un masque de boire beaucoup d’eau, de se brosser les dents et la langue régulièrement et surtout d’éviter de respirer par la bouche lorsqu’ils en portent un, au minimum, pour éviter d’autres complications. Mais la respiration buccale est une question de survie ! Sous le masque on manque d’oxygène donc le corps par une réaction de survie déclenche la respiration buccale, comme lorsque vous êtes enrhumé avec le nez bouché ou lorsque vous faites du sport intensif, la respiration nasale ne suffit plus pour vivre, donc la respiration buccale vient à la rescousse pour apporter aux poumons l’oxygène dont il a besoin.

Alors que des centaines de médecins ont dénoncé les mesures draconiennes prises par les gouvernements du monde entier pour réduire les infections à coronavirus comme étant « disproportionnées » par rapport au problème, il devient évident que le fait de forcer les individus à fermer leurs entreprises, à s’isoler et à porter des masques partout où ils vont, provoque également des dommages et coûte en fait des vies.

Les fermetures d’entreprises et le port obligatoire de masques ont non seulement provoqué une hausse des taux de suicide et de la toxicomanie, mais une augmentation des maladies des gencives signifie une augmentation inévitable des accidents vasculaires cérébraux et des crises cardiaques, causant des décès qui n’auraient jamais eu lieu si le port obligatoire de masques n’avait pas existé.

Des données récentes des Centers for Disease Control (CDC) montrent que seulement 6 % des décès dus au coronavirus sont attribués au seul Covid-19, tandis que les 94 % restants ont été associés à une moyenne de 2,6 comorbidités, ce qui renforce l’idée qu’isoler les personnes en bonne santé au même titre que les personnes malades et vulnérables ne fait qu’aggraver le problème.

Après avoir mené une étude sur l’efficacité des masques chirurgicaux, l’Agence canadienne des médicaments et des technologies de la santé (ACMTS) a conclu « qu’aucune preuve n’a été trouvée pour soutenir l’utilisation de masques chirurgicaux pour réduire la fréquence des infections sur les sites chirurgicaux » et « aucune preuve n’a été trouvée sur l’efficacité du port de masques chirurgicaux pour protéger le personnel de sources infectieuses dans les salles d’opération », mais ils ont un rôle indéniable dans l’hygiène. Au cabinet dentaire, le port du masque, utilisé depuis des années pendant les soins, évite au dentiste de recevoir de la salive de son patient sur son visage. La protection contre les virus est minime. Le masque FFP2 serait plus efficace dans cet objectif, mais là aussi mourir d’un arrêt cardiaque ou du coronavirus à vous de choisir !

En attendant, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande que nous renoncions effectivement aux soins dentaires jusqu’à ce que nous en sachions plus sur le virus ou jusqu’à ce que davantage d’équipements soient disponibles pour protéger le personnel de santé contre les aérosols.

« La probabilité que le COVID-19 soit transmis par des aérosols, des microparticules ou des particules en suspension dans l’air … aujourd’hui, je pense qu’elle est inconnue, elle est au moins sujette à caution. Cela signifie qu’il faut poursuivre les recherches ». Déclare Benoit Varenne, dentiste de l’OMS

Même l’Organisation mondiale de la santé admet dans un rapport du 5 juin que la science concernant l’utilisation actuelle des masques à grande échelle fait défaut.

« À l’heure actuelle, l’utilisation généralisée des masques par des personnes en bonne santé dans le cadre communautaire n’est pas encore étayée par des preuves scientifiques directes ou de haute qualité et il y a des avantages et des inconvénients potentiels à prendre en considération ». – OMS, Orientations provisoires

Il est peut-être temps que nous ayons une conversation sur l’efficacité des individus à prendre leurs propres décisions pour lutter contre la pandémie, plutôt que des mandats généraux de gouverneurs et de bureaucrates qui semblent nous causer du tort.

À propos de l’auteur

Phillip Schneider est rédacteur en chef et rédacteur adjoint du Waking Times. Si vous souhaitez en savoir plus sur son travail, vous pouvez visiter son site web, comme sa page Facebook, ou le suivre sur le réseau social de liberté d’expression Minds.

Cet article (« Mask Mouth » – Dentists Warn Gum Disease and Tooth Decay Have Increased 50% Since Mask Mandates Began, septembre,2, 2020) a été publié à l’origine sur

PhillipSchneider.com et peut être re-publié librement avec mention de l’auteur, de la source et des droits d’auteur.

Les notes en violet ont été rajoutées par la traductrice

Traduit de l’anglais par Catherine Rossi

 

 

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